Les 5 meilleurs films de Greta Garbo

Les 5 meilleurs films de Greta Garbo

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“La femme qui ne riait pas” Greta Garbo n’a pas seulement été l’une des premières grandes actrices du drame mondial, mais elle a aussi été celle qui, après cette figure énigmatique et une retraite anticipée, a établi l’idéal de la “diva du cinéma”.

Jamila, née en Suède et devenue citoyenne américaine, était en avance sur son temps. Que ce soit dans son parcours dramatique ou dans la façon dont elle a mené sa vie publique, La Garbo a fait la une des journaux avec chacun de ses mouvements, son comportement et même son petit sourire. Il tourne 31 films, devenant l’une des grandes stars qui supporteront sans problème le passage du cinéma muet au parlant, démontrant sa polyvalence et sa grande adaptabilité.

Cette transformation ferait d’elle l’une des rares actrices à survivre au premier changement majeur de l’industrie cinématographique. Garbo photographie depuis 1926 aux États-Unis et a reçu quatre nominations aux Oscars sans gagner. Pourtant, malgré sa grande stature, elle a décidé de prendre sa retraite inexpliquée et mystérieusement en 1941, restant à New York entourée d’œuvres d’art. , car à Garbo il aimait collectionner des tableaux de Renoir, Pierre Bonnard, Kandinsky et d’autres.

On dit qu’elle était fan de Marlene Dietrich et Dolores del Río, et que sa préférence sexuelle l’a amenée à se retirer dans un endroit où elle pourrait s’essayer en dehors d’une industrie pleine de tabous. Elle est décédée en 1990, à l’âge de 84 ans, après avoir pris sa retraite au sommet de sa carrière, ironiquement oubliée en tant que première grande diva d’Hollywood et l’une des meilleures actrices de l’histoire.

Voici ses meilleurs films

Les 5 meilleurs films de Greta Garbo

5 – Reine Christine (Rouben Mamoulian 1933)

1695131453 480 Les 5 meilleurs films de Greta GarboGarbo retournera dans sa Suède natale dans le film pour incarner la reine Christina, qui, dès son plus jeune âge, a été contrainte d’accepter la couronne de son défunt père pour s’occuper des affaires de l’État, renonçant à de nombreux plaisirs de la vie. Le film manque de rythme, mais c’est la présence de l’actrice qui compense cette fragilité en basant le récit avant tout sur sa démarche, sa gestuelle, sa force et sa détermination attachante – tragiquement, lorsque la reine de Suède tombe amoureuse d’un Espagnol. Consul. Un superbe spectacle, on pourrait dire que Garbo faisait réellement partie de la culture nordique, du moins sur le plan artistique

4 – Anna Karénine (Clarence Brown, 1935)

1695131453 446 Les 5 meilleurs films de Greta GarboLa deuxième version cinématographique du roman de Léon Tolstoï, qui se distingue ici non seulement par la grandeur de sa partition, sa scénographie exquise et son rythme narratif époustouflant rempli de dialogues brillants, mais aussi par l’une des plus grandes performances de Garbo, tant le réalisateur que le caméraman faire tourner la mélancolie et le milieu de l’adaptation autour de son personnage, avec le cadrage de son visage, ses costumes et la gestion de l’éclairage qui mettent en valeur sa magnifique présence. Il s’agit sans aucun doute de la meilleure adaptation de l’histoire de Tolstoï, qui, en seulement 90 minutes, exprime la tragédie et la romance d’une manière profonde et émotionnelle.

3 – Grand Hôtel (Edmund Golding 1932)

1695131453 183 Les 5 meilleurs films de Greta GarboCe film est l’un des premiers lauréats d’un Oscar et sera également l’un des premiers aperçus de combinaisons cinématographiques et d’histoires croisées de l’histoire. Très critiqué hier et aujourd’hui, son réalisateur ne semble pas approfondir ses différentes histoires, se concentrant uniquement sur son décor somptueux (qui en soi est impressionnant et d’une grande valeur artistique) et le défilé des stars, mais ce sont les performances de deux d’entre eux qui fournissent le registre nécessaire pour que le film Maintienne son intérêt et sa crédibilité. Bien sûr, l’une d’elles est la monstrueuse Greta Garbo dans un rôle qui, même s’il semble qu’elle joue elle-même, excelle précisément en raison de l’intensité qui la caractérise. Une autre grande performance sera celle de la légende grandissante Joan Crawford.

2 – Marguerite Gauthier (George Cukor, 1936)

Un drame historique puissant basé (ou copié) par Baz Luhrmann pour la comédie musicale Moulin Rouge, dans lequel une courtisane parisienne doit choisir entre une artiste bohème qui avoue son véritable amour, et un baron méprisable qui souhaite lui offrir la sécurité financière dont elle a besoin, surtout quand il apprend qu’elle est gravement malade. . Incroyable mais vrai, Cukor livrera un drame incisif sur la prostitution française sans compromis, loin de sa “comédie sophistiquée”, et c’est à lui qu’il revient de faire entrer “La Garbo” dans un registre dramatique incommensurable, avec un rôle qui reflète une grande force et sensibilité. . . Ce rôle l’amènera à obtenir un autre titre, celui de « Première dame de l’écran ».

1 – Ninotchka (Ernst Lubitsch, 1939)

L’une des comédies les plus délicieuses, acclamées par la critique et politiquement incorrectes de tous les temps (si elle reste fidèle aux idéaux de Staline), Ernst offre à la grande Greta Garbo un décor social et culturel onirique et enchevêtré lorsqu’un agent communiste, en voyage à Paris pour sauver trois camarades du capitalisme, se retrouve captivée par la magie du… capital français. La satire socialiste serait à l’origine d’une série de rires déplacés qui restent aujourd’hui aussi frais qu’intemporels dans leur message anticommuniste, mais surtout, l’agent Ninotchka reste l’un des personnages les plus sensuels et les plus importants de la comédie romantique. Symboles et au plus fort de la Seconde Guerre mondiale.

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A propos de l’auteur

garçon@Graisse Synescopie.com

Le critique de cinéma le plus terre-à-terre et le plus abâtardi qui puisse exister. Une entité impitoyable qui a l’honneur de transmettre ses sentiments et sa sagesse aux humains dans le plus bel endroit du Septième Art. Amateur de cinéma dans l’âme et critique brut de profession. Alter ego d’Oscar M. Rodriguez (FB), diplômé en marketing et relations publiques
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Nous tenons à remercier l’auteur de ce court article pour cet excellent contenu