Combien de films ont été expédiés cette année, et à quel point est-il difficile de choisir quels films projeter ?
Nous avons pris un nouveau cap. Au lieu de simplement chercher aveuglément des films, nous regardons ce que font les autres festivals de cinéma. Nous nous sommes liés d’amitié avec d’autres festivals, ce qui rend les choses très difficiles car nous avons tellement de films parmi lesquels choisir. Nous avons demandé à chaque membre du comité de venir choisir deux ou trois films. En fin de compte, nous choisirons parmi ces films pour notre festival en fonction de ces choix. Cette année est magnifiquement unie. Je pense que ce sera l’un des meilleurs festivals de cinéma que nous ayons jamais eu, honnêtement.
Quel était votre film préféré au festival ?
La variété des films est très spéciale cette année. Nous avons des documentaires, des films amusants, des films sérieux, des films sur la Seconde Guerre mondiale, Le voyage du violoneux vers le grand écran première mondiale et trois autres premières à Palm Springs. Je pense que c’est la gamme la plus incroyable que nous ayons jamais eue.
Chabbat Tango Amusant. J’adore ce film. Il s’agit d’un danseur de tango et d’un rabbin qui élabore un plan pour participer à un concours de danse sans sacrifier ses croyances orthodoxes. La famille, la tolérance et la communauté ont testé un mouvement de danse éblouissant à la fois.
Mon préféré est clair Le berger : l’histoire du chien juif. C’est tellement cool parce qu’il s’agit d’une famille qui a un berger allemand. Le garçon était, bien sûr, attaché à son chien. Ils ont été déportés et le chien a été enlevé aux nazis. Lorsque la famille est descendue du train à Auschwitz, le garçon et le chien se sont reconnectés. Le chien a immédiatement remarqué le garçon. Ce qui s’est passé était extraordinaire.
Un autre de mes préférés est Sous-location. C’est la partie LGBT de nous. Cette année, Oscar’s Café parraine le film, et ils le projetteront là-bas. Sous-location est un film gay sur un New York Times un écrivain voyageur qui est venu à Tel-Aviv après une tragédie.
Il y a des films auxquels je n’arrête pas de penser. C’est appelé Cours de persan. C’est de la fiction. Il s’agit d’un homme juif qui va dans un camp de concentration. Il s’est fait passer pour un Iranien pour éviter d’être persécuté. Le commandant voulait apprendre le persan, c’est ainsi que l’homme a survécu. Il a utilisé le nom de famille de la personne tuée pour créer la langue. C’est ainsi qu’il s’est souvenu des noms lorsqu’il est allé au procès à Nuremberg pour témoigner. Il leur disait : « ce sont les gens qui ont été tués dans ce camp ».
Il y a un autre film, qui est incroyable. C’est appelé Outremont et hassidim. C’est un documentaire sur les hassidim. Leur communauté a grandi dans une ville appelée Outremont au Canada. Ils vivaient avec des non-juifs. Grâce à un accès inédit à cette communauté isolée, le film ouvre le rideau sur ses pratiques, ses traditions, sa musique et sa vie.
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