20 Years Daredevil : Premiere ne détestait pas le film de Ben Affleck lors de sa sortie

Notre critique, publiée en mars 2003, pointait les lacunes, mais aussi les quelques qualités de ce film de super-héros mal aimé.

Célébration du 20e anniversaire de la sortie américaine de casse-couLe blockbuster de Mark Steven Johnson avec Ben AffleckJennifer Garner, Colin Farrell, Michael Clarke Duncan et Jon Favreau, le réalisateur a enregistré son film mal aimé le mois dernier.

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Il est maintenant temps pour son anniversaire français (il est sorti ici le 19 mars 2003), et encore une fois, cette adaptation de Marvel Comics a suscité beaucoup de rires depuis sa première sortie en salles. Puis il a été récemment éclipsé par sa version télévisée mettant en vedette Charlie Cox, avec des personnages plus étoffés et des scènes d’action bien plus impressionnantes. Quant à Affleck, il est désormais plus associé au rôle de Bruce Wayne/Batman dans le concours Warner Bros/DC Comics qu’à Matt Murdock.

Cependant, en quittant D’abord n’a pas détesté casse-cou. Dans sa revue, publiée dans le numéro de mars de cette année-là (avec matrice 2 sur la couverture), Mathieu Carratier est venu parmi de nombreux “mauvais goût”Les erreurs de mise en scène et la tendance à chercher l’inspiration trop ouvertement Le corbeau, une adaptation de bande dessinée granuleuse sortie quelques années plus tôt avec Brendon Lee. Mais il a également salué l’ambition de représenter un super-héros adulte, “profondément humain”et accueilli l’incarnation de Ben Affleck dans ce rôle pas si facile à interpréter car comblé “conflits intérieurs”.
Nous partagerons cette note de trois étoiles ci-dessous (la moyenne pour le reste de l’équipe éditoriale était de deux).

UFD

Société de stock.
Un film, X MenElle a relancé le film de super-héros. Autre, Homme araignée, a prouvé que le genre pouvait engendrer l’un des plus grands succès de l’histoire du cinéma tout en recueillant d’énormes éloges de la part de la critique. La méthode est simple : privilégier l’humain et redonner aux histoires la résonance sociale et politique qui nourrit tout l’intérêt métaphorique de la bande dessinée.

Le problème de casse-cou devrait enfin venir X Men Et Homme araignée. S’il les avait précédés, il aurait sûrement été célébré pour les mêmes raisons que ces deux films. Aujourd’hui, il devrait essuyer les pots. En partie parce qu’il lui manque un réalisateur au tempérament aussi unique que Sam Raimi. Mark Steven Johnson, lorsqu’il prouve qu’il est un scénariste inspiré et évidemment un grand fan du matériel qu’il adapte, fait des fautes de goût qu’on espérait disparaître avec les années 80 et dépense un peu trop pour cela. Le corbeau.

où être casse-cou marque des points lorsqu’il choisit d’incarner un héros profondément humain qui, après une nuit d’affrontements, est contraint de tuer sa douleur avec des pilules. Ses conflits intérieurs sont également inattendus (un super-héros peut-il aller jusqu’à rendre orphelin un enfant pour la justice ?) et témoignent d’une volonté de séduire un public adulte. Sans pour autant négliger les plaisirs simples, car le film regorge de scènes d’action bien pensées et exécutées. Dans le rôle-titre, Ben Affleck est d’une justesse rare, restituant subtilement la versatilité de son personnage vengeur et meurtrier, équilibrant vulnérabilité et froide détermination.

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